Sur une plage saupoudrée de nacre,
Glissant dans la pâleur irisée des coquillages,
Vivait une fée centenaire, aux ailes fragiles et éphémères.
Ses mains traçaient dans l’air les contours de ses souvenirs,
Frôlant les sensations passées du bout des doigts.
Craintive à l’idée de les revivre, et de les perdre.
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